Le résumé de la quatrième de couverture ne nous évoque qu’une infime partie du roman.
Dans la famille Plomeur, on a l’amour de la bonne chair, depuis plusieurs générations. Mais la vie d’André Plomeur va être différente, lui, a l’amour de la bonne chair, mais pas uniquement de la boucherie. La chair féminine. D’autant plus que nous sommes en temps de guerre.
C’est alors, que, la guerre terminée, il se retrouve avec 7 enfants à élever, et à aimer !
7 enfants nés d’un amour passionné qui n’aura été que l’histoire de quelques heures. Et voilà comment à 16 ans, André doit faire face à la mort de sa mère (et disparition de son père), et élever ses 7 enfants. Certes il est jeune et ne les désirait pas, et pourtant, ce jeune papa va tout faire pour les élever le mieux possible.
C’est donc une véritable aventure que l’on va vivre dans ce livre, la véritable aventure de la vie d’André. Et cette histoire nous permet vraiment de nous évader dans un autre monde (tout le principe, pour moi, d’un livre), un endroit où l’exotisme est bien présent (il n’y a qu’à voir la description des oiseaux que nous fait André).
Un livre que j’ai vraiment adoré ! Un énorme coup de cœur, donc, pour cette histoire que j’ai dévorée en quelques heures seulement.
Lâcher le livre a été très dur … Les chapitres, relativement cours, sont rythmés, et sans cesse, on souhaite connaître la suite.
Vous l’aurez compris … Bifteck est un livre que je recommande 🙂 !
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